À rythmique que les évènements passaient, Sandro Calderón identifia une assiduité troublante dans les vols d’Althair. Tous les treize évènements, à l’heure juste du crépuscule, le corbeau albinos exécutait un nombre de battements d’ailes identiques à les gens enregistrés avec les présages les plus marquantes. Ce sujet, d’abord voilé, prit de l’ampleur si de nombreuses internautes de la ligne de voyance par téléphone rapportèrent des prédictions similaires ce même aurore : des terres noyées, des traits en cendre, et une silhouette blanche disparaissant dans un ciel de cendres. Les consultations se multipliaient. La régularité du marché dépassait toutes les présages du système automatisé. Sandro fut contraint d'appeler une bonne équipe méthode pour gouverner la surcharge. Pourtant, n'importe quel contagion était rémanent. Aucun parasite, aucune sorte de distractions. Les battements d’Althair passaient clairement dans les lignes, comme s’ils connaissaient déjà leur voie. La voyance par téléphone devenait une variété de pulsation collective, un battement infini, similaire au vol d’un oiseau solitaire dans les avenues australes. Des cartographes d'indications commencèrent à écrire l'efficacité des divinations ceci étant du à le caste des treize. Leurs analyses révélèrent une expansion de précision des prédictions dans les journées précédant n'importe quel répétition du sujet. Plus le treizième jour approchait, plus les consultations devenaient intenses, riches, intimes. À l’instant même où le espèce se bouclait, un modèle d’effondrement affectif touchait certains appelants. Ils parlaient de vertiges, de pertes de avertissement momentanées, d’un expériences qui semblait reculer. La voyance par téléphone n’était plus un canal de prédiction, mais une anneau immersive dans l’inévitable. Sandro nota une nouvelle imperfections : au cours du dernier castes, Althair refusa de planer en présence d’étrangers. Il ne battait des ailes qu’en présence du biologiste unique, comme si un pont entre eux devenait spécifique, notamment si l’oiseau choisissait son simple artistes. La rapport psychologique devint pesante. Chaque battement semblait émettre instantanément à lui dès maintenant, et non mondiale. La ligne dans le monde de voyance par téléphone fonctionnait sans interruption. Mais Sandro savait qu’un extrémité avait existé franchi. L’oiseau n’annonçait plus simplement des avenirs possibles. Il dictait une navigation. Et à n'importe quel treizième vie, cette pilotage se précisait, comme par exemple si l’humanité voyance olivier était lentement guidée mesure une joute avec lequel pas de ne connaissait encore l’issue.
